TYSON - le ça est beckettien, et le poing lui c'est le mien
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Tyson H. Machlovsky
Messages : 25 Date d'inscription : 16/01/2011 Crédits : delightful Études : étude de commerce Age : 18 ans
Sujet: TYSON - le ça est beckettien, et le poing lui c'est le mien Dim 16 Jan - 21:28
Tyson Hadès Machlovsky
robert sheehan @ tumblr
Bonjour, je me présente Tyson Machlovsky , j'ai 18 ans et je suis né(e) à Dublin le 28 f&vrier. Je suis oversexuel, enfin hétérosexuel et nymphomane. On me décrit comme quelque de drôle, humoristique, optimiste mais aussi obsédé, gamin et chieur. Je fait parti de ELECTRIC SHOCK.
F I R S T ❝We're all crazy and the only difference between patients and their therapists is the therapists haven't been caught yet❞
Peter Pan
vous avez des enfants ? Ils ne vous disent jamais à quel point vous êtes vieux et ridé? Ils vous laissent les embrasser pour leur dire bonne nuit?!!!!
Citation :
Tyson est un garçon insolent et qui souffre du syndrome de peter pan, il ne veut pas grandir. Au premier abords le patient peut supposer ignoble, égocentrique, et être surtout atteint du syndrome de se penser parfait; mais lorsqu'on l'écoute on voit surtout qu'il dénigre surtout les personnes âgés. Il aime les blagues salace qu'on peut rapporter à la sexualité infantile. Il se comporte tel un enfant, sans aucune idée de ce qui se fait ou ne se fait pas. Un grand gamin, il ne semble pas avoir grandit. Toujours à vouloir embêter les filles, à les draguer ou encore à leur mettre la main aux fesses d'après ses parents.Très peu de manières, il n'a aucune pudeur et parfois, peu de classe avec les femmes. Il y va au talent, hors, son talent de séduction est souvent limité. Malin, la plupart du temps, il aime se jouer des gens pour son plaisir personnel, genre le coup du cousin péteur ou encore la boule puante. Il en reste pas moins qu'il ne veut pas grandir et qu'il semble "bloquer" dans sa psychologie de l'enfance/ pré-ado alors qu'il est pourtant âgé de dix-huit ans.
Alors comme ça... vous avez coucher avec ma mère ? Pouah déjà ma mère et mon proviseur c'est laid mais en plus vous êtes vieux ! J'me suis fais viré. Pour ça et pour le reste. Mais j'allais quand même pas me taire ! Il était moche, et ridé, et je faisais des cauchemars de son entre-jambe, donc oui j'ai exactement dit cela. Bon certes j'aurais pu le tourner autrement et avec un peu moins de franchise et de désinvolture. Mais j'y peux rien, j'voulais qu'il sache que je sache ce que je savais. J'me suis fais virer, et ma mère la virer parce qu'il avait virer son fils. Bref on a fait un sacré raffut le soir où c'est arriver. Lui il me traitait de p'tit c**; ma mère le traiter de gros c** et moi j"hurlais un peu tout et n'importe quoi rien que pour les faire monter le son pour entendre leurs insultes. Après ma mère m'a pas adressé la parole pendant 48H. Et elle m'a même forcé à me faire à manger moi même. C'est horrible ! Mais j'suis vivant.
A F T E R ❝It's great to be young and insane.❞
Je n'aime pas parler de moi, c'est simple comme bonjour; qu'y a-t-il de difficile dans cette information. Je qui désigne un sujet, en l'occurrence moi, n'aime pas, tout d'abord le verbe aimer comme synonyme apprécier donc y prendre goût à , notez la négation présente donc le contraire d'aimer pour ne pas dire détester, parler de , signifiant raconter quelque chose amener des précisions, des arguments et des détails et en dernier de moi, encore une fois pronom démonstratif précisant l'objet, la personne souvent un COD, pour ici c'est moi-même, ma petite personne. Non il n'y a rien de bien compliquer là dedans. Je n'aime pas et donc je ne veux pas parler de moi, c'est plutôt simple pourtant même un type avec des années d'études et qui se nomme psychiatre n'est pas capable de le comprendre. Ce bien simple je n'aime pas que l'on s'intéresse à ma personne, je ne comprends pas cet engouement que peuvent avoir certaines personnes à vouloir me connaître au plus profond, tel les psy chez qui m'a envoyé ma mère. C'est pourtant simple, petit enfant devenu grand, souhaitant de toutes ses forces, voulant les points serrées que l'on veuille enfin le laisser en paix. Je n'en demande pas tellement juste qu'on me laisse tranquille, tran-quille.
Ouai bon d'accord c'est faut j'adore employer le je Parler de ma vie, de mes sentiments, de mes envies. Ha parce que oui j'en ai des envies et pas des moindres si vous voyez ce que je veux dire haha. Non mais je trouve ça bien de parler de moi en continuité. Même si au fond je dis jamais rien de vrai, même si j'suis sur que personne me connais réellement et tout; moi je m'en fou j'envoie valser...les trucs en toc les cages dorés... Oups pardon j'me suis perdu dans les écris ! Non mais sérieusement n'allez pas penser que j'suis mal dans ma peau c'est faux , faux ,faux. Même les psy ont finit par renoncer alors vous devriez pas tarder à le faire tic tac tic tac. L'heure tourne. dis vous savez que votre femme couche avec votre voisin?
Faites les taire. Qu'ils s'arrêtent, ou bien qu'ils fuient à jamais. Je ne les aime pas, non je ne les aime vraiment pas. Un son qui tinte, qui carillonne. Je n'aime pas le rire des enfants. Hier c'était l'enfance, aujourd'hui je n'y suis plus. Qu'on les fasse taire. Ou bien j'irais le faire. C'est la dèche, c'est la haine, il n'y a rien qui puisse m'apaiser rien qui substitue à mes joues sèches. Mes paupières sont lourdes, fatigué et moi on me prend pour une gourde. J'irais crier mon dégout sur les toits enneigé en plein hiver, il fera froid, il n'y aura que moi au pire je t'emporterais car finalement tu n'es pas si inutile. Petite fille futile, gamine fragile. Je n'aime personne, je n'ai besoin de personne non plus. Je crois que je n'ai pas toujours été ainsi. Enfant j'étais un peu moins meurtri. Mais n'allez pas penser que j'ai besoin de pitié ; je n'aime vraiment pas m'apitoyer. Je n'ai pas eu d'enfance difficile, je suis né avec des parents comme les autres enfin presque, le nom et la fortune en bien pire que d'autre. J'ai grandi seul, enfant unique. Une grande maison, des parents, des Noël en famille et des trucs bien futiles, trop futile. Encore. Toujours. Je voudrais toucher le ciel, l'embrasser, l'embraser, le faire disparaître sous mes injures. Je pleure et je noie mes peurs dans de doux parfums de fleurs.
Vous y comprennez rien ? Un coup je ris, un coup je pleure ? Mais enfin vous voyez pas que j'suis trop doué ? Jetez moi des fleures j'suis doué, doué doué. J'suis doué pour jouer, j'suis doué pour faire chier. Et puis le reste je m'en moque, j'aime jouer un rôle. Au fond je sais jamais ce que je ressens depuis tout petit. Comment est-ce possible ? A force de trop jouer on finit par s'oublier, essayer c'est divin.
Faut pas croire qu'j'suis tout le temps comme ça. Parce que c'est faux. Moi j'rentre jamais tard, c'est toujours très tôt, avant que les parents se lève, avant que Lénor crève. Parce que oui il se fatigue rapidement. Non faux, mais je partirais pas sans lui. Moi je prend ma guitare, comme ça j'suis pas un trouillard. Écoutez la ville acclamé, mon surnom tant idolâtré. Nan moi j'suis pas un clébard, moi la nuit je mène la danse très tard. Une note, mon frère, mon calbard, un pote , une blonde un accord. Nous quatre à jouer, à se trémousser, clope au bec, je chante nos airs de rock star mal mené. J'aurais aimé vivre dans les 70's. On est né vingt ans trop tard. Nan mais vous imaginez ? La loi qu'on fait régner ? Sans le vouloir, parce que sérieux nous on veut juste jouer et en discuter. Mais c'est juste impossible encore plus lorsqu'on parle des jumeaux M. Aux pluriel. Moi j'me marre de le voir à ce point se trémousser. Mon frère adoré. Mon frère adulé, mon frère de pensé. Un regard et c'est le paradis, un sourire et on fait fondre les milady. J'me regard dans le miroir, et je je touche sa peau , c'est dérisoire. Nos pensées mêlées, les fantasmes qu'on aime créer. Parce que ne mentez pas, nous voir onduler ça vous fait rêvez. Alors nous on adore jouer, de vos regard halluciné. Vous avez rêvez de vous embrasser ? Et bien nous c'est déjà passé; mes lèvres semblables aux siennes, notre corps c'est un seul dupliqué. Lén'... regardes l'autre beauté... Un regard tourné dans la bonne direction, tandis que pendant une chanson je glisse avec facilité à son oreille ces mots bien cherchés. Après ça..;tu m'laisses dix minutes et tu nous rejoins derrière ?! Je ris, comment j'peux me concentré. Je m'éloigne de nos reflets flouté. Jeune blonde pleine de naïveté ? Non ton regard est bien trop osé. Une fin de chanson un verre avalé, Lorolaï calmé moi je sors m'éclipser. Sa présence non lointaine, je sens cette fin de nuit amusé. Trois heure du mat'. Mes bottines trottinent, ma clope se termine et je vous vois, elle mutine. Tes lèvres scellées aux siennes, je croise ton regard sans que tu la lâches. Un rire brise le silence. Tyson... j't'avais pas entendu... c'était super ce soir j'le disais à ton frère... tu voulais lui parler? Je la regarde, elle est jolie, on a bien choisit. Lénor me regarde avec un sourire, continuant de déposer des baisers sur sa nuque exposée. Non pas qu'à lui... plutôt une idée pour nous trois... Sa peau si douce, ses lèvres gardant le goût de mon frère. Elle s'arrête, comprend et sourit. Nan mais n'as-tu pas rêver d'avoir les deux frères pour toi ? Tandis qu'elle ferme les yeux je cherche la main de mon reflet, je la trouve, je garde ses lèvres à elle sans lui jeter un regard. Nos souffles emmêlés à trois c'est mieux qu'à deux pommés. Un téléphone sonne. Je le sens en plus vibrer dans sa poche. Oh elle doit déjà s'en aller ? Notre poupée doit déjà se ranger ? Je soupire et m'éloigne désabusé, lui lançant un regard blasé. Elle nous suit, elle nous fuit ? Arriver à la maison, trois personnes qui frissonnent. C'est drôle comme sensation on s'isole. Elle hésite, elle s'arrête. heu..j'suis pas à l'aise les gras. j'devrais y aller. vous en parlez à personne. Elle dégage je rigole. Trouillarde. Sa main sous mon tee-shirt abimé, je vire mes bottines abimés, plaf sur le sol. Frangin amusé. Ses doigts contre mes côtes de taré. Taré dites-vous ? Taré vous même, ici il y a personne d'autre qui s'aime. Parce qu'il est mon frère, et que vous comprenez pas qu'on est pareil. Deux pièce identique. Ses lèvres sur les miennes, sa langue contre la mienne, on s'en fout de ce que cela amène. Rien d'autre, mon lit, la nuit, ses bras, dormir contre lui, le sentir près de moi, sentir ses lèvres; mon jeans me fait mal. Je le retire sans gêne, je m'endors... mon esprit se tord.Pauvre conne elle a pas vu qu'elle était mignonne ?!
F I N A L L Y ❝Insane people are always sure that they are fine. It is only the sane people who are willing to admit that they are crazy❞
J'aurais bien fait un copier/coller de ma description de mon autre compte mais je suis tellement adorable que je vais recommencer à me présenter, sans relire l'autre comme ça vive la nouveauté. J'me présente je m'appelle Henri, j'voudrais bien réussir ma vie être aimé... Bref on m'surnomme Nevada et pour les intimes c'est la même chose. J'vais sur mes dix-huit printemps en mars prochain, j'suis en term L et la semaine qui arrive je passe des exam' blanc donc je serais moins présente (: J'suis ultra active, ultra chiante et hyper-active. hormis ça je crois que j'ai tout dit (;
Dernière édition par Tyson H. Machlovsky le Mar 18 Jan - 20:17, édité 7 fois
Polly Hope Winchester
Messages : 79 Date d'inscription : 16/01/2011 Crédits : puckessa; tumblr; young folk Études : études de psychologie Age : 22 ans
Sujet: Re: TYSON - le ça est beckettien, et le poing lui c'est le mien Dim 16 Jan - 21:31
Bon je t'ai déjà dit ce que j'avais à dire. Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. ROBERT
Tyson H. Machlovsky
Messages : 25 Date d'inscription : 16/01/2011 Crédits : delightful Études : étude de commerce Age : 18 ans
Sujet: Re: TYSON - le ça est beckettien, et le poing lui c'est le mien Dim 16 Jan - 22:16
Héhé merci beaucoup oui tu m'as déjà tout dis (aa)